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  • : SCV 70
  • : Vie du club SCV70, consacré à la spéléologie, et un peu le canyoning et la via ferrata.
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29 juin 2020 1 29 /06 /juin /2020 18:16

Présents : Thierry G. ; Gege ; Thomas L. ; Thierry V. ; Nanard

 

Rendez-vous 10H sur place où Thierry G. nous attend avec son camping-car. Après le rituel café/croissants, on installe la ventilation et on prépare le burineur pour le fond.

Pendant que Thierry G. s’active à descendre le plafond du méandre au burineur, Thomas évacue les déblais.

J’en profite pour faire quelques photos sur l’amont du nouveau réseau avec l’aide de Thierry V.

Ensuite, nous évacuons avec Thierry V. les gravats sur la partie amont, au bac, en reconstituant un mur en rive gauche.

Thierry G. arrive jusqu’au petit élargissement, 5 mètres après le début du méandre, grâce au burineur. Jusque là, la galerie est facilement accessible et bien aménagée, mais on barbote dans une vasque de 30 cm d’eau. On arrête là, pour le repas de 15 H.

A l’issue du repas, les collègues vont faire un tour pour voir le petit effondrement situé à 200 m de là ; le vide s’est accentué certainement suite aux dernières pluies. Deux blaireaux y sont coincés. Les bords sont aménagés et des troncs installés pour permettre aux blaireaux de pouvoir sortir. Un blaireau assez jeune semble assez actif, alors que le plus vieux semble mal en point.

Thierry G. ; Gege et Thomas L. repartent vers 17 H.

Avec Thierry V. , on redescend au fond pour élargir la suite, mais devant la première baignoire qui nous permet d’accéder au nouveau réseau, nous nous attaquons à creuser une nouvelle rigole, qui permet de la  vider totalement. Fin de soirée, le cheminement se fera presque au sec.

On se réserve la suite du méandre pour la prochaine semaine. On ressort vers 20 H.

Nanard

Perte de Bougnon, dimanche 28 juin 2020

Les autres photos

Ajout à l'article ci-dessus concernant les blaireaux : 

 

J'ai été voir les blaireaux ce soir (lundi 29). Le grand est mort (je me demande s'il ne s'était pas blessé en tombant dans le trou), le petit n'a pas bougé. Je lui ai remis deux pommes en quartier, des bouts de pains et des fraises/cerises trouvées sur place.
 
Je pense y retourner demain soir vers 18h30 avec une pelle et une bêche pour aménager une pente douce. Mais je ne sais pas si cela suffira à le sauver. Je pense qu'il est trop jeune pour survivre seul.
 
Thomas LEBON
 
 Ce soir, mardi 30 juin, j'ai sorti (seul) le blaireau survivant du trou. Il est parti un peu boitant dans le sous bois. Je lui ai laissé des croquettes et de l'eau, plus le restant de pommes et de pain.
 
J'ai fait un escalier, parce qu'une rampe c'est plus long. Et j'ai enterré celui qui était mort.
 
Thomas LEBON
Perte de Bougnon, dimanche 28 juin 2020
Perte de Bougnon, dimanche 28 juin 2020
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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 08:39

Participants : Tiphaine et Louis, JLG

Louis m'ayant proposé une sortie avec Tiphaine, j'avais accepté avec enthousiasme. Un peu avant 9 h, je passe donc les chercher à Besançon, et en route pour la combe de Malvaux. Louis avait prévu de faire le gouffre de la Crête de Malvaux, qu'il avait vu sur le topoguide "les belles du Doubs" tome 2. On se gare donc à l'endroit indiqué, on s'équipe et grâce à la description précise du topoguide, on trouve rapidement l'entrée après une sévère grimpette. Dans sa description, le topoguide indique : "Ce gouffre de type alpin débute par un méandre quelque peu étroit sur 10 m ..." Louis passe devant et trouve que c'est effectivement étroit. Je m'y engage quand même, et m'y coince. Je préfère renoncer et ressors. J'aurais certainement pu passer en enlevant la quincaillerie, mais bon, comme il y a une solution de rechange toute proche avec le gouffre de la Combe de Malvaux ... Tiphaine va jeter un œil jusqu'en haut du P7. Ils n'ont pas l'air trop déçus par mon renoncement...
Retour donc à la voiture, on refait les kits pour la Combe de Malvaux et on essaie de trouver l'entrée. Pas simple, et pourtant, j'y suis déjà venu 3 fois, et on a le gps et les bonnes coordonnées. La végétation a beaucoup poussé, des arbres sont tombés, on ne voit pas du tout l'entrée... (voir les dernières photos, de notre sortie de la cavité). On y arrive quand même. L'étroiture d'entrée ne me laisse passer qu'une fois débarrassé de mon matos (à la remontée aussi). Louis est devant, il équipera tout le trou. Le gouffre est bien humide, contrairement à mes précédentes visites, avec de petites cascatelles par endroit (dans la lame à franchir après le premier puits, dans le dernier puits, ...). On va jusqu'au dessus du dernier ressaut, qu'on ne descendra pas, pas envie d'aller patauger dans la boue du fond. Remontée sans problème, Louis déséquipe.

Au retour, je montre à Tiphaine et Louis l'entrée de la Baume du Mont, qu'ils ne connaissaient pas. Ayant des impératifs horaires, on n'y descendra pas.

JLG

Combe de Malvaux, jeudi 18 juin 2020
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16 juin 2020 2 16 /06 /juin /2020 10:48
Grotte de la Malatière à Bournois avec Tiphaine, mon papa et LB 
 
Nous arrivons vers 15h30 sur le parking de la cavité. Une demi douzaine de voitures alsaciennes y est déjà stationnée. Le temps est maussade et se prête bien à la spéléologie. J'équipe l'entrée sur d'autres arbres que ceux occupés. En bas du puits nous entendons le groupe d'une dizaine de personnes et attendons la fin de leur remontée pour faciliter le croisement. Mon peu de souvenirs de cette grotte me permet d'être surpris plus d'une fois par les nombreuses concrétions et les courts passages techniques. Nous avons apprécié les dimensions et l'ornement de la galerie du métro et avons fait demi tour juste avant l'escalade du SCV. Le retour s'est bien passé, nous avons eu la chance de visiter par hasard plusieurs petites galeries délaissées à l'aller, toutes étant des culs de sacs... Nous sommes ressortis vers 21h éblouis par le soleil rasant.
Louis
La malatière, dimanche 14 juin 2020
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16 juin 2020 2 16 /06 /juin /2020 07:35

Présents : Thierry G. ; Gege ; Jean-Paul S. ; Thomas S. ; Thierry V. ; Nanard

Rendez-vous prévu à 10 H sur site où Thierry G. et Gege nous attendent avec le camping-car. Après le rituel café/croissants, on attend Jean-Paul qui arrive avec une brioche ; et  re…café.

Puis on s’équipe et on attaque la grosse doline, où nous avions vu la semaine précédente un semblant de galerie. Pendant que Thierry G. s’affère à creuser, on retire les seaux. Pendant ce temps notre spécialiste des aménagements extérieurs (Jean-Paul), nous façonne des marches pour un accès plus sécurisé.

Après une heure de déblaiement, Thierry s’enfile dans le boyau en pente douce et atterrit dans une salle de décollement qui descend d’environ 5 mètres. Des dalles d’effondrement du plafond jonchent le sol. Thierry V. s’attaque au fond de la cavité et déblaie une amorce de diaclase. Je fais le relais en stockant les cailloux en partie dans la salle, puis la terre sera retirée via un bac vers l’extérieur, par Thierry G.

Pendant ce temps Jean-Paul, et Thomas S. qui vient d’arriver aménagent des blocages dans la doline à l’aide de rondins de bois.

Thierry se retrouve dans l’argile liquide devant une diaclase, en partie colmatée (80 cm), et on semble deviner une poursuite de galerie. Les collègues commencent à trouver le temps long, et on ressort avec le matériel.

Il faudra revenir et en une séance on devrait tirer des conclusions.

Nouvelle cavité : - 5 m   dév. : 7 m environ    Reste à lui trouver un nom !

Repas à 15 H 45, qui s’éternise jusqu’à 17 H 15, avec des dégustations. Finalement, on décide de jeter un coup d’œil vers la perte plus en aval, où Thierry V. a perçu un petit vide.

On se décide. On renfile les combinaisons humides et nous revoilà en train de creuser dans le remplissage de la perte. Un vide qui descend sur 2 m semble se dessiner. Avec Thierry V., on s’active et on vide sur 2 m. Les Dijonnais repartent chez eux ; Thomas S et Jean-Paul nous aident à évacuer et tasser la terre extraite. Finalement, ils nous abandonnent.

Avec Thierry, on poursuit notre excavation jusqu’à 20 H. On est contre paroi, on débouche dans une galerie bien érodée sur 4 m de long. Allongés, on est devant un plan d’eau à – 3 m et la galerie semble partir. Il faudra redescendre le niveau d’un mètre pour avoir de l’aisance et percevoir ce qui se passe derrière la laisse d’eau.

Séance à poursuivre sur une petite journée.

Nouvelle cavité : - 3 m     dév. : 5 m     Nom à trouver !

On sera de retour à 22 H chez nous.

Dimanche prochain 21 juin sortie à la perte de Bougnon. Thierry V. ; Bruno ; Véro ; ??? pour aller aménager le passage vers la galerie vue par Bruno. Besoin de petits gabarits. Prévoir néo. Contacter Thierry pour l’organisation (voir en fonction de la météo).

 

Nanard

Pertes à Hurecourt, dimanche 14 juin 2020
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8 juin 2020 1 08 /06 /juin /2020 08:51

Présents : Thierry V. ; Jean-Paul S. ; Jean-Marie J ; Nanard

 

Après le rendez-vous à la perte de Bougnon, on va repérer l'écoulement du ruisseau suite aux pluies récentes ; écoulement normal ! Donc après le café-croissants, on décide d'aller dans la nouvelle partie du réseau.

Nanard s'affaire à retirer les blocs des travaux précédents  puis  aménage une rigole pour vider la baignoire qui rejoint le nouveau réseau. Jean-Paul et Thierry font une visite et découvre l'amont du réseau. Jean-Marie aménage l'entrée de la conduite depuis la salle.

Thierry, enfin continue à buriner la voûte de la galerie d'accès, suite aux fracturations de la séance précédente. Nanard s'enfile dans le boyau qui mène au fond du réseau, mais un passage laisse à désirer pour passer et manœuvrer. On retire quelques morceaux sur les parois. Nanard et Jean-Paul, commencent à évacuer les cailloux.

Finalement on décide avec Thierry de creuser le bas de la galerie (remplissage sur au moins 80 cm), pour faciliter le passage et surtout dans l'objectif de passer facilement le matériel pour travailler au fond.

Jean-paul nous quitte. Jean-Marie évacuera les gravats avec le bidon relié à deux cordes pour les va et vient. Avec Thierry, on se retrouve vite dans une baignoire de boue liquide. On a creusé sur environ 3 m de long, mais on se refroidissait pas mal (pas de néo) et on avait surtout du mal à respirer après les efforts. Donc on replie et on ressort vers 14 H 45 sous un beau soleil. Pas de courant d'air dans la galerie du nouveau réseau en aval.

Après le repas, Thierry nous emmène repérer les pertes et résurgences du coin. A la perte d'Hurecourt, on devine une galerie en limite de paroi et d'effondrement de marnes. On commence à ressortir quelques seaux et on abdique. Il faut un peu plus de matériel.

Donc il es décidé de revenir sur cette perte le dimanche 14 juin; on se retrouve chez Thierry vers 9 H 30.

Les travaux se poursuivront le dimanche 21 lorsque les petits gabarits pourront travailler au fond et nous dire ce qu'il en est.

Pas de photos à montrer. Mon appareil photo est resté dans la voiture à Thierry.

Nanard

Perte de Bougnon, dimanche 7 juin 2020
Perte de Bougnon, dimanche 7 juin 2020
Perte de Bougnon, dimanche 7 juin 2020
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4 juin 2020 4 04 /06 /juin /2020 17:09

Retour en hte Saône  pour retrouver les camardes du SCV , sympathique  comme d'hab.
Je ne connais pas la cavité , mais l'approche est rapide. L'entrée demande un peu de contorsions pour certains ,mais il est vrai, quelques fois moi aussi, le repas du midi n'était pas une obligation pendant les presque 3 mois de confinement, merci...
Arrivés dans la salle du siphon, Thierry me dit : "Nous voilà arrivés !"
Me dis dans ma tête , ""à oui "", je ne vois pas le départ du siphon. Après avoir cherché derrière des roches ,effectivement, il est là, certes  pas le Wicky, mais il est là.
Je peux dire que la visi n'est pas médiocre, même content, assez claire. Me dis "vais tirer du fil, si  J.M  Lebel dit ça continue, alors pas de problème, c'est vrai". 
Je regarde la meilleure manière pour y rentrer et cela sans faire de dégâts  visi. Je m'habille en petite grenouille, accroche mon fil  et me voilà  concentré sur la plongée. Je  passe le passage d'entrée intime sans problème et me retrouve dans un beau laminoir, assez haut car je suis très à l'aise et très large, cela continue bien mais bizarre, pas de visi. Pourtant je n'ai pas souillé lors de mon entrée très rapide et directe ... l'eau n'est pas souillée par des sédiments lors de notre approche, ne pense pas car cela tire sur le blanchâtre ...visi de 30 cm alors que, vu la vasque, je pensais avoir au moins 5 mètres de visi ...
merde ,merde  pourquoi ?
J'essaie de tirer 3 voire 4 mètres et veux accrocher pour me retrouver dans l'axe de la sortie car c'est un laminoir et vois pas trop. Je ne trouve rien, et d'ailleurs visi 0, je décide de rentrer pour leur dire ...
Je suis déçu, surtout que le portage n'est pas facile et je voulais faire plaisir aux copains porteurs.
Tout ça pour 5 mètres, je décide de leur dire, je veux retourner  pour essayer autre chose,
me déplacer dans la largeur pour constater aussi que : aucun passage c'est pollué.
Je tâte  pour voir si je peux accrocher mon fil mais rien. Dommage j'aurais des plombs, j'aurais malgré tout tiré du fil en le plombant mais je n'ai rien.
Ce que je ferai pour la prochaine sortie car je décide de laisser mes 2 *4 litres et mon bobino.
J'y retournerai, Thierry  veut agrandir l'entrée mais si cela est ok, je préfère refaire une sortie avec des plombs pour le fil, je tirerai  même si pas très bonne visi, cela permettra de voir si cela mérite des travaux : à discuter ??
Pour moi ; je pense que le laminoir est assez haut, environ 60, 70 de haut sur très large.
J'emmènerai  6 plombs de 1 kg  pour avancer dans la sécurité.
Et pourquoi pas une meilleur visi. 
Le retour se fait avec quelques séances photos sympas ...
La damassine est là pour les muscles contorsionnés...

Je  remercie pour le portage,et à bientôt sur le site...   

 

DIDIER L .

Perte du Ruisseau de l'Etang, plongée, dimanche 31 mai 2020
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3 juin 2020 3 03 /06 /juin /2020 22:37

Présents : Thierry V ; Didier L ; Pascal B ; Nanard

Rendez-vous fixé à 10 H vers le gouffre du Crevat, car Didier ne connait pas l’accès à la perte du ruisseau de l’Etang. Sont également présents, Jean-Marie J. et Jean-Luc G., qui nous accompagneront jusqu’au début de notre incursion sous terre.

On en profite pour remettre à Didier, une de nos balises de détection, pour qu’il puisse l’adapter à son caisson étanche pour l’emmener sous terre ; objectif : le suivre en surface prochainement lors du cheminement Crevat – Trou du Pinard.

Après le rituel café/croissant, Didier prépare le matériel et tout le monde s’équipe. Nanard emmène du matériel photo pour ramener quelques images du fond.

On se suit dans les passages étroits et dans le premier puits en se passant les kits, dont les 2 bouteilles de 4l. Une fois dans les grandes galeries, on file vers le fond en présentant le réseau à Pascal et Didier qui ne le connaissent pas.

Didier repère le siphon moyennement accessible et tente une plongée. Peu de visibilité (30 cm environ). Une descente à -3 m estimée, permet à Didier de percevoir un laminoir de 60 cm de haut, mais d’une bonne largeur (peut-être 2 m) ; les parois sont sondées au pied sans trop toucher les parois. Il ne semble pas y avoir d’obstacle au début du siphon, mais la touille étant importante, après 3 tentatives, il semble plus prudent de renoncer et de revenir une autre fois. Le fil d’Ariane est laissé sur place ; Thierry étudie la façon d’aménager la diaclase d’entrée, pour faciliter l’accès et la mise à l’eau sans polluer l’accès.

Le retour sera consacré à une série de photos, avec flash et pied photo, pour compléter les manques d’illustrations concernant les galeries du fond. La boue et le manque de maîtrise des flashs ne permettront que de ramener des photos d’explo. Il y a encore du travail à faire sur l’utilisation des flashs, leur réglage et leur prise en main.

Thierry en profite pour nous amener dans la galerie qui permet de faire la traversée et vérifie l’état de la trémie qui ne semble pas avoir bougé, mais qui questionne quant à la traversée.

 

Etant bien mouillés, et commençant à sentir un certain refroidissement, on ne traîne pas vers la sortie, toujours en se passant les kits vers la sortie du puits et dans le méandre d’entrée.

Sortie vers 17 H 45.

 

                                            Nanard

Perte du Ruisseau de l'Etang, dimanche 31 mai 2020

Les autres photos ici

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1 juin 2020 1 01 /06 /juin /2020 08:51
Participants ; Fred Martin et VOL PAU
 
Dimanche on part sur les chapeaux de roue parce qu’on en a marre d’être déjà réveillé, on arrive cueillir Fred avec une demi heure d’avance qui nous dit je suis réveillé depuis 5 h 45… ben alors qu’est ce qu’on attend ?? à 9h40 on est dans le trou. C’est moi qui équipe et ça me fait un bien fou parce que j’ai tout oublié. Les garçons commentent derrière mon équipement un peu « sauvage » genre  "il fallait doubler le machin là, j’aurai ajouté un truc là... » . Bon on y va quoi, faut descendre ! Je leur fais un passage de noeud (on révise) 3 mètres en dessous d’une tête de puits en entrelaçant une 8,5 avec une 10,5 mm. Ca fait bizarre. Fred a peur que quelqu’un nous suive et voie mon équipement… Non mais quand même !!
J’aime beaucoup Ouzene c’est vraiment un beau terrain de jeu très vivant. Après la chatière en bas Philippe dit oh un lézard (il voit toujours des bêtes improbables à -60 m).
C’est un TRITON ALPESTRE ! Joie ! On danse la samba et on photographie la bestiole au dos bleu et au ventre orange. De belle taille. Ichtyosaura alpetris dernier descendant de son  genre de dinosaure l’ichtyosaure donc (un éléphant avec un bec de dauphin qui sait nager). Là il mesure 6 cm. Contente j’en avais pas revu depuis les Ravières. Plus loin une grenouille jaune et un petit crapaud gris. Une cavité vivante vous dis-je. 
 
J’arrête d’équiper quand le premier kit bleu est vide (C70, C20 C50) mais on est au fond du trou ?? ! le kit rouge a été descendu pour rien ? On remonte chercher l’escalade. Fred passe devant c’est lui qui équipera la suite. Il reste une C50 et une C9 de secours. On trouve l’escalade superbe et amusante. puis Fred nous engage dans des petits passages alambiqués avec des « rinquele ranquele » et on progresse sur corde et dynema le plus souvent sur amarrage naturel… à la sauvage quoi. Bon mais à force la corde est trop courte. Donc ma géniale corde de secours permet de refaire un passage de noeud sur une grosse colonne au bord du gouffre et pan on est en bas ! presqu’au même endroit que tout à l’heure. On rentre, on boit une bière des ogresses fournie par mélody et retour maison.
Vero
A vendredi les copains !!
Ouzène, dimanche 31 mai 2020
Ouzène, dimanche 31 mai 2020
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31 mai 2020 7 31 /05 /mai /2020 08:59

Participants : du GSML : Thomas, Bouliche, Yvan, Jean-Luc K, Thierry, Arnaud ; du SCV : TL, JMJ, JLG
TPST : 2 h 30

Nous sommes invités par les copains du GSML pour assister à un pompage dans l'A66  Le but est de désamorcer un siphon, pour pouvoir aller jusqu'à une cheminée, vue il y a de nombreuses années mais pas grimpée. Quand on arrive vers 8 h 15, les copains sont là, ayant déjà tout préparé la veille : la pompe, les tuyaux, les câbles, le groupe, le téléphone, ...tout est en place. Un petit café, et on s'équipe. On peut admirer une fois descendu dans les buses, les travaux de désob et d'étayage. La galerie est encore étroite, mais "confortable", on apprécie les tapis au sol qui aident à la progression. On achemine sur place 2 rallonges de tuyau. Bouliche raccorde la pompe, le téléphone fonctionne, la pompe est mise en place dans le siphon. Appel à Thierry resté en surface, le groupe démarre et le pompage commence...On patiente un quart d'heure, le niveau baisse très légèrement. Il est décidé de ressortir pour attendre en surface, au chaud, le résultat du pompage. Pendant le retour, Arnaud nous fait les honneurs de la visite (presque) complète de la cavité.

Une heure plus tard, 2 spéléos vont vérifier le niveau d'eau : déception, il n'a baissé que de 3 cm. Le dernier pompage qui avait été réalisé au cours d'un étiage prononcé, avait duré beaucoup moins de temps, mais aujourd'hui, l'arrivée d'eau est encore trop importante. On décide que, quitte à attendre, on va faire le barbecue à midi, au lieu du soir.

Après le repas et un temps de repos, tout le monde (ou presque, Jean-Marie préfère tenir compagnie à son canapé préféré pour une sieste réparatrice) s'équipe et retourne dans le trou. Le niveau n'a pas baissé suffisamment. On ressort, et Arnaud et JLK nous font découvrir la traversée A 66 - 2 h 30. Belles galeries, bien concrétionnées et déchiquetées (et relativement étroites et franchement humides). A la sortie, Arnaud a l'idée d'essayer de dévier la rivière pour que les pertes du 2 h 30 soient moins importantes et qu'ainsi le siphon pompé soit moins alimenté. Il se met au travail avec JLK. Ils viennent nous donner le résultat de leur travaux un peu plus tard : ça fonctionne, et ainsi le siphon devrait être désamorcé plus rapidement. A suivre.

Merci au GSML pour cette journée, l'accueil, le barbecue, ... A prévoir une bouffe interclub prochainement .

JLG

A 66, samedi 30 mai 2020

Les autres photos ici

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 20:12
Participants : Jean-Paul et TV
 
  Découverte d un boyau intéressant qui barre sur 5 à 6 mètres au fond d un grand affaissement proche d une perte , à  voir rapidement.      
 
Ensuite Visite résurgence des pertes d'Hurecourt au niveau d'un ancien moulin .
TV
Prospections Hurecourt, samedi 30 mai 2020
Prospections Hurecourt, samedi 30 mai 2020
Prospections Hurecourt, samedi 30 mai 2020
Prospections Hurecourt, samedi 30 mai 2020
Prospections Hurecourt, samedi 30 mai 2020
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