Participants : Jean Ozenne, Tiphaine Boyer et LB
Présents : Jean- Marie Josso – Thierry Vircondelet – Bernard Détouillon
Participation au café : Jean-Luc et Chantal Géral.
Rendez-vous fixé à 10 H pour le café/croissants. Jean-Luc, nous retrouve avec Chantal et nous apporte le café/croissants. On en profite pour échanger sur l’AG du SCV qui aura plutôt lieu le dimanche midi (à cause du confinement) et les travaux envisagés par le SCV.
Puis Thierry, Jean-Marie et Nanard s’engagent sous terre pour tester le nouveau matériel photo et rapporter quelques photos afin d’illustrer le prochain Karst Comtois N° 4.
La veille, Guy Decreuse m’a conseillé afin de mieux prendre en main mon nouvel appareil, ainsi que la commande des flashs.
Le niveau d’eau extérieur est assez important, donc le réseau devrait être sympa pour les photos. On commence par réaliser quelques photos dans la première salle, bruyante à cause des différentes arrivées d’eaux en cascade. On a du mal à se comprendre pour la position des flashs, des personnages, …
Les pierres sont très glissantes et on fait attention de ne pas se retrouver « les 4 fers en l’air », surtout avec le matériel qu’on étrenne. Le niveau d’eau étant important, on ne remontera pas l’aval.
Les manipulations ne sont pas toutes faciles pour la prise en main du matériel ; déréglage de la vitesse, du diaphragme en touchant les molettes sans faire attention ; flashs qui se déclenchent pas toujours ; …
Bref un bon apprentissage pour découvrir l’appareil. Il y a encore du boulot de prise en main, mais ça va venir !
On ressort et Thierry voudrait aller voir si les cascades coulent dans le P18 du réseau du Moulin au Maire 2.
On descend les 18 buses et on redécouvre les travaux de ferraillage et de maçonnerie de l’époque. On se croirait dans un sous-terrain ou les catacombes. Finalement le parcours est bien aménagé au gabarit du président. Enfin on débouche dans la grande galerie et là on entend la rivière qui cascade.
Finalement l’eau cascade bien mais en bas du P18 ; donc on n’aura pas l’occasion de ramener des photos de grosse crue.
Dans les passages d’entrée, on trouve des concrétions de 30 cm de long qui datent de 7 à 8 ans.
Retour, après avoir repéré l’aménagement d’un nouveau puits pour accéder plein pot au réseau inférieur.
Sortie samedi 2 janvier : Bruno et Nanard à la perte de Bougnon pour tenter l’accès à la galerie active.
Vendredi 1er janvier – dimanche 3 janvier : Jean-Marie et Thierry au TNNP pour poursuivre les travaux.
Nanard