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  • : SCV 70
  • : Vie du club SCV70, consacré à la spéléologie, et un peu le canyoning et la via ferrata.
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30 novembre 2020 1 30 /11 /novembre /2020 09:08
Présents : TV, BP, BD+ JMJ et JLG en visite matin/fin d'après midi.
 
TPST : 6 h
 
C'est passé!
Mais déception...
21 pailles pour dépasser le virage au fond ( 4x2+ 3x3 +1x4, très efficaces) et se retrouver immédiatement dans un cul-de-sac, c'est décevant.
Pourtant, la cadence de forage, pose pailles, déblayage avec le kit, était bien huilée.
Et Nanard a pris le temps de faire des photos pendant les temps morts.
Le trou était sec, la baignoire également. La perte coulait un peu dans le drain secondaire à l'entrée.
 
Le premier obstacle au plafond est éliminé avec deux pailles. Derrière, on découvre un carrefour de diaclase : une qui file tout droit avec un coude visible à 3/4 m devant, une seconde perpendiculaire à droite, parallèle au drain principal. Devant, il faut élargir grandement pour  avancer, le conduit mesure une vingtaine de cm de large pour 40 de hauteur.
Logiquement, la suite devrait se trouver devant dans cette direction, après le siphon situé en dessous.
Après avoir bien décapé les parois fissurées et le sol de calcite/terre, Bruno tente une première fois l'étroiture. Il reste un gour de calcite en travers avant une pente d'un mètre pour aborder le virage plus loin. Pieds en avant, ca passe pas, le gour gêne pour bien se positionner en bas de la diaclase, le coude est à 90°. Il faut donc continuer avec une autre série de trois pailles puis un second essai. Finalement, ça passe limite limite mais le retour est assuré, il y a des appuis contre paroi pour pousser.
Malheureusement, c'est une petite rotonde au sol de terre, diamètre 1,20 m. Parois partout, cailloux collés par les crues au plafond et aucune amorce visible.
Sur le tas de terre, un tas d'os s'est déposé avec un petit crane aux dents pointues( restes d'un renard?).
L'objectif est atteint, 17h00 étant légèrement dépassés, nous rangeons tout pour ressortir. Avec la pente et un sac à tirer en rampant sur 70 m, c'est toujours aussi sportif.
Malgré tout, au carrefour cité plus haut, la diaclase qui part à droite est assez haute ( 1,50 m au moins) et on aperçoit un élargissement deux mètres plus loin. Un courant d'air sensible provient de là, le méandre de voute continue aussi. Mais pas de liaison à la voix avec l'autre amorce de diaclase située plus en amont dans la galerie principale....On y retournera.
Nous avons donc fait environ 5/6 m de première.
 
Selon météo de la semaine et du we prochain, il est possible que nous retournions à l'autre perte ( les pierres blanches). Il y a la topo à faire et les laminoirs du fond à désober pour tenter de passer ( si deux gabarits légers sont présents...)
Bruno
Perte de la Dent, dimanche 29 novembre 2020
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28 octobre 2020 3 28 /10 /octobre /2020 18:18

Participants : du GCPM : Sarah (la taupe-modèle), Thomas et Guy Decreuse et du SCV : JMJ, PB, JLG

TPST : env 5 h

Au départ, Pascal avait envie de faire une sortie (n'en n'ayant pas fais depuis un moment), et suite à la publication d'un avis de sortie, Jean-Marie s'est joint à nous, et nous avons eu le plaisir d'accueillir Sarah, Thomas et Guy, du GCPM. Ayant déjà caillé en surface à côté du trou en attendant que tout le monde soit au fond, et vu la pluie annoncée pour la journée, je suis allé la veille équiper le puits d'entrée pour éviter trop d'attente. 

La descente se passe sans problème, on se déséquipe en bas du puits, et en avant. J'avais oublié les passages bas avant le confluent, enfin surtout leur longueur. Guy a amené son matos photo, et compte bien faire quelques clichés au retour, l'aller servant de repérage.

Au cours des quelques échanges par mail avec Sarah et Guy, j'avais annoncé que la néoprène était superflue, nous n'irions pas là où il y avait trop d'eau. C'était sans compter sur l'enthousiasme des doubistes, qui arrivés à la voûte mouillante, ne voulurent pas s'en tenir là. Donc trempette... et en route vers le siphon. Quand ça devint trop aquatique, demi-tour. Au retour, Guy fait quelques photos, mais je commence vraiment à avoir froid. On repasse donc la voûte mouillante et on se dépêche de revenir en bas du puits. La pluie nous attend à la sortie. Au cours de ma remontée, je décroche un gros caillou qui va s'écraser en bas, sans faire de dégât ; tout le monde avait été averti du risque de chutes de pierres. Jean-Marie déséquipe le puits.

Après le rhabillage, la bière, le rapide casse-croûte, on va jeter un coup d'œil à l'entrée de l'aval de Cerre, la cheminée à Schoenig. Guy a pu repérer des spots photo qui l'intéressent dans la rivière (et qu'il n'a pas eu la possibilité de prendre en photo aujourd'hui) et reviendra faire la traversée un de ces jours (si le confinement nous en laisse la possibilité...)

JLG

Ci dessous, photo de Guy Decreuse

Cerre, mercredi 28 octobre 2020
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26 octobre 2020 1 26 /10 /octobre /2020 07:39
Présents : TL, JMJ, TV
 
TPST : 7 h
 
Rendez-vous avec un  peu de retard vers 10h15, TV et JMJ ayant fait la queue à la boulangerie et TL s'étant trompé de lieu de rdv.
 
Après café/pain au chocolat et équipement, rentrés dans le trou vers 11h15. On rampe jusqu'au terminus et Thierry commence à aménager des marches et installe un fer à béton pour monter plus facilement à la galerie supérieure. Puis on se relaie à trois pour creuser le sol (argile et coulées de calcite). Arrivés presque sous le terminus de Bruno de la semaine dernière, on fait trois pailles sur la paroi de gauche, qui éclate bien. On continue ensuite à gratter le sol, jusqu'à passer la tête dans l’alcôve située juste après, au niveau de l'arrivée d'une belle faille par la droite. Après l’alcôve, la galerie continue tout droit, en s'élargissant et en descendant, au moins sur 4/6 m. Par contre, on arrive pas encore à passer tout le corps.
 
Thierry utilise donc encore trois pailles pour élargir l'accès au format présidentiel. Il reste juste un dernier petit bout de plafond à enlever avant que tout le monde puisse passer dans l’alcôve et peut être continuer dans la galerie sans travaux.
 
Sortie à 18h15, arrivée au voiture à 18h30. Vu l'heure et la pluie, on ne s'attarde pas trop, juste le temps de s'hydrater (on n'avait pas pris d'eau dans le trou, erreur) et de manger un bout de gâteau (on avait pas pris à manger non plus).
 
Semaine prochaine, Samedi, même lieu, même heure (voir avec Thierry, qui n'est pas sûr de ne pas pouvoir venir Dimanche au final).
  
 
Thomas LEBON
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26 octobre 2020 1 26 /10 /octobre /2020 07:25

Participants : Guy Decreuse ; Sarah Bouveret ; Bernard Détouillon.

TPST : 6 H.

Sortie organisée pour permettre à Guy Decreuse de découvrir la cavité et y réaliser quelques photos. Sarah Bouveret du GCPM, intéressée par la découverte de ce réseau, se joindra à nous et participera en tant que modèle photo, à la demande de Guy.

Rendez-vous fixé à 9 H 30 à la cabane de chasse de Borey. Après le traditionnel café/croissants, on s’équipe pour la descente. Arrivés en bas du puits, la rivière coule faiblement, mais le réseau est monté légèrement en charge par rapport à la veille au soir. En effet, je suis allé équipé le puits d’entrée le vendredi soir et allé faire un tour dans le réseau ; il n’y avait quasiment pas d’eau et au niveau de la perte, en bas de la galerie fossile, rien ne coulait.

On part en reconnaissance jusqu’à la voûte mouillante à l’aval qui est saturée (siphonnante). On repart sur la galerie des marmites pour réaliser nos photos. Guy sort le gros matériel (Godox ; Snoot ; flahs ; ….) et commence sa série de photos. Après de multiples réglages (contre-jours, éclairages d’appoints, …), les photos saisies font ressortir tous les détails des galeries et donnent du volume.

Une deuxième séance est organisée au retour dans la galerie fossile pour figer les formes bien marquées de cette galerie. Puis notre troisième étape sera réalisée au niveau de la galerie d’accès au collecteur. Sarah très patiente, remplira sa mission de modèle, durant toute la sortie. Un grand merci à elle.

Les dernières photos seront réalisées dans le puits d’entrée, avant notre sortie vers 16 H 00.

Un grand merci à Guy, pour ses photos de qualité et qui nous permettent de mieux mettre en valeur cette cavité.

Bernard Détouillon

Trou Pinard, samedi 24 octobre 2020
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19 octobre 2020 1 19 /10 /octobre /2020 09:18
Présents : Thierry V. ; Thierry G. ;  Bruno P. ; Nanard, Sarah et Thomas du GCPM, et JPS en visite café/brioche le matin.
 
TPST : 6 H 30
 
On a touché le but ...
Après une dizaine de séances pour recalibrer et aménager les 40 premiers mètres, nous avons atteint le fond en une seule fois ce jour.
Sarah et Thomas, croisés par Nanard à Pourpevelle dernièrement, et habitant Port sur Saône, sont venus prendre contact, voir le trou en voisin et donner un coup de main.
Thierry G. part derrière la "baignoire" faire de la place tant que possible : un début de tranchée juste derrière sur 5 /6 m, cassage de calcite, puis il est allé chatouiller le laminoir nauséabond situé juste avant le siphon terminal. En néoprène sous la combi, pas facile. C'était un choix.
 
Pendant ce temps, Bruno, épaulé par Nanard, Thomas et Sarah, perce 3x3 trous au plafond de la baignoire et place deux planches de plus.
Thierry s'occupe en solo dans la diaclase latérale à l'entrée, il a retiré pas mal de bacs. L'eau aura plus de facilité pour passer.
 
Après les agapes ( Champagne !, pinot gris et morgon, entrecoupé d'une dégustation de vin de noisetier apporté par Nanard, ), l'équipe du matin sans le dijonnais repart au charbon.
Nous voulons avoir confirmation des dires de Thierry, le seul ayant vu la suite.
Bonne surprise, tout le monde passe la baignoire à l'aise, sans se mouiller ni forcer, la dernière série de pailles ayant très bien performé.
Faudra t-il encore grignoter 20 cm par sécurité ? Probablement. Et sortir encore quelques bacs pour descendre le niveau de terre et de cailloux accumulés derrière. Le risque d'une grosse crue qui remplirait à nouveau la baignoire d'alluvions est possible.
En tous cas, la galerie se relève assez vite au bout de 5-6 mètres et on passe quasiment debout jusqu'au fond ( même Thierry). On retrouve dans ce secteur, une petite diaclase latérale à gauche, au ras du sol, apportant l'eau de la perte ( dimensions 10 cm max, hauteur 15cm), quelques gouttes aujourd'hui.
25 m plus loin, on butte sur le laminoir, mais tout le monde peut facilement se croiser debout dans la diaclase de plus en plus large.
Le siphon terminal est situé quelques mètres plus loin à droite, après un cran d'un mètre en sortie de laminoir. A revoir certes, mais pas forcément intéressant. Un volontaire?
 
La diaclase fossile qui nous intéresse est située juste au dessus, en haut d'un cran de 2,50 m. (amorce dessinée sur la topo de 1976).
Le bloc évoqué est bien présent, 2 m plus loin à l'horizontal, aucune trace de passage d'eau donc pas de mise en charge, tant mieux. C'est en fait un bout de plafond et c'est étroit pour l'atteindre. Sylvain Charles a une très bonne mémoire, merci!!
A nouveau 3x3 pailles pour élargir, en perçant assez facilement en oppo ( prévoir quand même 2/3 fers à béton la prochaine fois pour des marches), puis 2 autres pailles dans le bloc.
Malheureusement, le second accu est vide, à peine ce qu'il fallait pour le dernier trou.
Dommage, une dernière et c'était bon.
Malgré tout, un coup d'œil est possible malgré la gêne du casque. ça passerait en forçant un peu, mais il reste pas mal de fumée donc retour.
On voit néanmoins la diaclase fossile qui file tout droit devant avec vue sur 5 m, et une autre qui arrive de la droite. Le sol est en terre et on doit pouvoir  se relever peu après.
A noter, 6 prénoms gravés au caillou sur une paroi avant le laminoir et datant probablement de 1976 ( dont Yonnel, Nicole-Bouveret?, Jean Varlet? etc)
Prochaine sortie dimanche au même endroit, à confirmer via Thierry.
 
Bruno
Perte de la Dent, dimanche 18 octobre 2020
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18 octobre 2020 7 18 /10 /octobre /2020 14:00
Présents : Philippe Auriol, Véro Olivier, Valbert Lamboley et Jean Auriol (novice) pour le SCV - Nathalie Verdier notre comparse en Chine avec son club parisien Virginie et Jean-Luc et 3 novices (Sandra, Aliena et Steeve).
 
Nathalie nous a donné rendez vous pour fêter nos 360 jours depuis la Chine. Elle arrive avec 3 novices à encadrer, on vient avec le notre, Jean. Philippe lui a montré la veille comme utiliser le matériel par une fenêtre de la maison.
On va faire la traversée par la combe des Rochottes sortie  par l'entrée historique. Les parisiens ont équipé la sortie le temps qu'on arrive c'est cool. On part aux Rochottes, je passe devant Jean suivi de Philippe puis Valbert et Sandra, Aliena et Steeve. Très vite les nouveaux sont confrontés à des drôle de problèmes. Jean est obligé de faire une conversion dès le second puits son MAVC s'est retourné et c'est un tas de pus avec le descendeur et les longes coincées. Guidé par Philippe il s'en sort et on poursuit. après le grand P60 fractionné déporté (Jean Luc  attend tout le monde pour faciliter le passage) il faut équiper le dernier P17 mais manque de corde. Bon. J'attends Nathalie et sa corde de secours car personne ne veut faire faire un passage de noeuds aux nouveaux. On était bien parti pour leur faire la totale pourtant. On s'achemine entre chaos et bassins c'est vraiment très beau. On file voir les siphons, le temps pour Sandra de tomber à l'eau jusqu'au cou. Les pauses pipi, et ravito ne se font jamais en même temps du coup notre groupe de 10 est d'une lenteur de fossile...  je bouillonne ! on part devant bille en tête avec Jean et Valbert. On se perd un peu, pas grave, on a même le temps de revenir au contact et de repartir en restant devant. On voit deux fois le paysage sublime. Arrivé devant le puits de sortie équipé en double, on se partage l'encadrement. Jean Luc et Virginie repartent déséquiper le côté Rochottes. Je m'occupe de Jean qui recoince son nœud de longe dans le Croll en le passant derrière ?? Bon je redescends en poignée sur corde tendue et en deux coup de pédale il peut reprendre l'ascension. Valbert s'occupe de Sandra et d'Alieana car Philippe et Nathalie ne sont pas trop de deux sur Steeve, qui n'aimait pas les descentes mais aime encore moins la montée... Valbert est enchanté d'encadrer il est calme, patient, passer du rôle d'apprenant au rôle de sachant ça vous change un ado. Et les filles sont ravies ! Bref on sort une heure avant le dernier trio. Steeve a coincé son bloqueur de poing, Nath lui donne le sien en se résolvant à l'idée de remonter au machard. Je lui fais passer un bloqueur par Philippe parce que boudiou on n'est pas sorti ! On se les gèle dehors depuis une heure et c'est qui qui a la clé de la voiture ? ben c'est Philippe. Allez, c'était bien, Jean a été super cool et calme, rien ne l'émeut sur corde. On n'a pas fait de photos !
VOL
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29 septembre 2020 2 29 /09 /septembre /2020 14:22

Participants : LB, JO (spiteurs fous)

TPST : 3h00

On continue la préparation et les révisions. Aujourd’hui, l’objectif est de s’entrainer aux techniques d’équipement. Alors, je prends le premier kit et pars devant. On commence avec un début de main courante au sec et assez loin du gouffre. Tout est broché, c’est très confortable pour l’équipement. Dès le sommet du puit d’entrée (P38 suivi d’un P10), on comprend que les révisions commencent. La main courante est assez aérienne. Il faut une bonne dizaine de mousquetons pour arriver à la tête de puits. Je finis par descendre le P38 en suivant une magnifique cannelure. J’arrive rapidement près d’une plateforme au pied du puits … je descends trop bas. C’est parti pour une conversion à la montée et une petite recherche de broches. J’équipe le frac suivant et reprends la descente dans une autre cannelure. Je vois les deux broches suivantes à environ 8m de moi. Je pendule pour attraper une des broches avec ma goutte d’eau et j’y arrive du premier coup … c’est un petit miracle !!! :)

Je me retrouve devant une main courante remontante à équiper … j’adore !! LB me rejoint et me conseille pour l’équipement. Après quelques tractions, nous arrivons dans le méandre et commençons la progression jusqu’au puits du Pendule. LB équipe ce puits avec juste assez de corde pour atterrir sur la plateforme sans avoir à faire un passage de nœud. Finalement, ce pendule était moins impressionnant que celui au pied du P38.

Tous les deux sortis du puit du Pendule, LB m’explique que la suite est un enchainement de méandres sympathiques :) Du coup, nous prenons la décision de remonter. LB déséquipe toute la cavité aussi vite que je la remonte avec un petit kit dans le dos … bref, il va encore falloir s’entrainer pour avancer plus vite !! Nous sortons tous les deux du gouffre alors que la nuit est tombée depuis un long moment déjà. C’est parti pour une petite course d’orientation au travers des champs pour retrouver la voiture.

JO

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21 septembre 2020 1 21 /09 /septembre /2020 15:21

Présents : Thierry V. ; Jean-Marie J. ; Thierry G. : Nanard

TPST : 5 H

Après le café/croissant de 10 H, nous attaquons les travaux et profitons de la présence de Thierry G. pour abaisser le seuil au niveau de la baignoire.

Arrivés devant la perte, on constate que notre matériel a disparu (seau ; bacs ; cordes ; …). Dégoûtés, on fait le tour de la zone afin de voir si quelqu’un nous a fait une farce. Il n’en est rien, le matériel a été dérobé.

Après une heure de recherches, nous nous organisons avec le seul bac et les autres cordes que nous avions apportés.

Nous nous étalons dans la cavité : Jean-Marie en surface pour l’évacuation, Nanard au relais pour récupérer le bac du fond et le replacer sur la corde de surface (avec renvoi de cordes) et les 2 Thierry's au fond.

Thierry G, grâce à son petit gabarit, passe l’étroiture et creuse la galerie à contresens. Thierry V. récupère la terre et charge les bacs.

Nous arrêterons après une trentaine de seaux. Thierry G. a bien dégagé l’accès à la baignoire, et le tas de remblais qu’il a repoussé devant lui permet tout juste de sortir.

Il faudra impérativement sortir rapidement les déblais au milieu de la galerie, au risque de les voir embarqués par une arrivée d’eau.

Nanard

Perte de la Dent, dimanche 20 septembre 2020
Perte de la Dent, dimanche 20 septembre 2020
Perte de la Dent, dimanche 20 septembre 2020
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16 septembre 2020 3 16 /09 /septembre /2020 14:17

Participants : LB, JO (spiteurs fous)

TPST : 3h30

Aujourd’hui, on adapte l’agenda au boulot … A 17h la journée est terminée. Je rejoins LB pour préparer les kits avec le matériel nécessaire pour descendre au fond de La Légarde. Environ 200m de corde, une quarantaine de mousquetons et quelques spits devraient nous permettre d’atteindre l’objectif de la journée.

Arrivé à l’entrée du Gouffre vers 18h30, nous nous répartissons les 4 kits et LB équipe la descente. P30, P7, P70, P10, … les puits s’enchainent rapidement jusqu’à la trémie. L’ambiance est sportive, nous n’avons pas le temps d’avoir froid.

Les choses « dures » commencent enfin. Nous devons trouver la première étroiture. Nous en trouvons une, hésitons et continuons à chercher … Finalement, c’était la bonne. C’est parti. LB entre en premier pour me montrer le chemin. Après chaque étroiture, il y a une petite « salle » qui permet de s’assoir et de se passer les kits assez rapidement. La dernière étroiture est devant nous, il faut équiper un petit ressaut avant de s’engager dans le passage étroit. Le descendeur en bout de longe, on descend tranquillement pour rejoindre le dernier puits de la journée (P17).

Arrivé en bas du dernier puit, on se rend vers les gours sans s’aventurer dans la Galerie de la Boue, puis allons voir le bassin de l’autre côté.

Pour finir la sortie, LB remonte comme une fusée pendant que je déséquipe. Lorsqu’on passe la tête à la surface, il fait déjà bien nuit. 

JO

Gouffre de la Légarde, mardi 15 septembre 2020
Gouffre de la Légarde, mardi 15 septembre 2020
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15 septembre 2020 2 15 /09 /septembre /2020 16:37
Participants : Th.V. Jm-J.
10h-18h.
 
     Jean-paul nous rend visite avec les croissants, donc mise en train peu rapide ! Nanard, de retour du Chaland ( S.S.F.) passe nous surveiller dans l'après-midi ! Entre temps nous décidons de dégager une galerie repérée à gauche de la perte juste après le grillage dans le but de dévier l'eau préservant ainsi l'accès actuel. Un certain nombre de bacs et de seaux + tard, la galerie plonge dans un méandre étroit mais non colmaté : progression de près de 3m. 
J-M.
 
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