Participants : Rudy et Rodolphe
Rdv à 11h dimanche matin.
Participants : Rudy et Rodolphe
Rdv à 11h dimanche matin.
10h/15h
Jeunes : Iloée, Gabriel, Antonin, Leny et Théo
Encadrants : Benjamin VINCENT, Laurent PLASSERAUD
On se retrouve au gite de Montrond le Château à 9h pour enkitter, on s’équipe puis on saute dans les voitures direction Reugney. C’est Théo qui prend en charge l’équipement et le déséquipement de la cavité. On descend le P6 et on découvre que l’escalade qui suit est « sous la douche »…. Les « grands » arrivent à esquiver les gouttes mais les « p’tits » se font rincer dès le début ! La suite de la progression jusqu’au P16 est vraiment sympa et cela me permet de voir que les jeunes se débrouillent très bien en escalade et désescalade mais surtout il y a un bel esprit d’entraide entre eux. On fait la parade pour le suivant, on lui indique les bonnes prises, BRAVO les loulous !!!
Arrivés à la base du P13, j’entends des dents claquer et je vois des p’tits lutins tremblotants… Donc on mange en 5’ et on attaque la montée pour se réchauffer ! Laurent part devant suivi d’Iloée et Gabriel qui sont gelés et filent sur les cordes pour vite aller se changer. Leny s’intercale entre Gabriel et Iloée pour filer un coup de main. Ensuite Théo désequipe et Antonin lui remonte un kit d’équipement. Tout le monde est dehors à 15h30 puis retour au gite pour dékitter.
En conclusion, une cavité vraiment sympa pour l’équipement et la progression. Les jeunes ont beaucoup apprécié ce p’tit gouffre !
Benj
Présents : Jean-Luc G. (le matin); Jean-Marie J.; Thierry V.; Thomas L.; Bernard D.
Au rendez-vous de 10 H sur place, on échange sur les activités précédentes (sorties; travaux, stage photo; ...) et surtout sur les contacts pris par Jean-Luc pour poursuivre les travaux dans le nouveau gouffre des Fèves. C'est OK, on a l'accord du propriétaire et du locataire du terrain. Donc, on commence à cogiter sur l'organisation à mettre en place pour buser le puits sur 6 mètres (gaine annelées; buses; base support des buses; ...).
Vu qu'on est nombreux, on s'organise en deux équipes. Jean-Luc, Jean-Marie et Thierry s'affèrent à monter le mur qui va soutenir la porte d'accès de la perte. Avant l'arrivée des pluies et pour éviter l'embâclement de la perte, une porte grillagée va être montée pour retenir le plus gros des végétaux lors des grosses crues.
Pendant ce temps, je descends avec Thomas au niveau de l'éboulis final, pour poursuivre les travaux.
Le ruisseau coule légèrement et la néoprène est appréciée. Allongé dans le ruisseau, je réussis avec la canne téléscopique bricolée par Jean-Marie, à déplacer tous les blocs au milieu du passage sur 5 m. Le passage est partiellement dégagé, mais ça coince par endroits. Je surcreuse le niveau du ruisseau, mais un bloc partiellement enfoui sur la gauche, me limite vu mon gabarit. On poursuit le surcreusement du ruisseau, mais quelques blocs au ras du sol sont bien accrochés.
On voit bien la galerie sur 6 m, et on est sur de la roche en place au bout de 3 à 4 m. Le niveau se relève et la galerie semble descendre.
Objectifs pour dimanche prochain : passer l'éboulis si Bruno est présent. Vu son gabarit, éclater ou pas le bloc de gauche au sol avec une petite paille, et ça devrait passer. Prévoir néo.
En surface le mur se monte.
Après le casse-croûte, on s'affère tous à la suite du mur. Vers 17 H 00 le système est partiellement terminé. Restera à colmater le mur sur la gauche avec des blocs, à monter un petit mur de rétention de la terre avant la porte et quelques finitions.
Dimanche prochain : Travaux à la Perte du Château de Vallerois (Jean-Marie; Thierry V.; Thomas ? ; ......Bruno ? pour la première ???). Prévenir Thierry de votre venue.
Nanard
Participants : TV, JMJ, JLG
10 h 13 H
Enfin une belle première, verticale, sans désobstruction ... on ne va pas bouder notre plaisir !
François Meudre, habitant de Villers sur Port, m'avait contacté il y a une semaine pour m'annoncer qu'un trou s'était formé sur sa commune, de 3 m de diamètre et 12 m de profondeur. Rendez-vous avait été pris pour ce matin 10 h pour aller voir le phénomène. Dans l'intervalle, TV, JMJ et Nanard étaient allés hier voir le trou, indiqué par un chasseur (cf CR du 11.11). Ce n'est pas grave, ça leur aura permis de voir le trou, et de prévoir le matos pour y descendre. Donc François nous accompagne en voiture jusqu'au bord du trou (l'exploitant du pré sera contacté pour avoir son autorisation d'aller jusqu'au trou en voiture).
Avec JMarie, on essaie de mettre en place un équipement qui permet de ne pas trop toucher les bords instables. Thierry installe 2 échelles bout à bout. Les deux descendent pour l'exploration.
Description de la cavité : premier banc de roche correct à - 4 m (donc de la terre au dessus) ; pincement de roche à - 6 m ; pont de terre à - 7 m ; palier à - 9 m ; entrée d'une grande diaclase de 6 m x 1 m qui descend à - 16 m, arrêt sur cheminée ; à mi-pente, départ à angle droit d'un joli méandre de 5 m x 1.50 m descendant jusqu'à - 18 m et qui se termine actuellement par un passage étroit où coule un ruisselet, passage non franchi ce jour ; jolie résonnance plus loin. (Les données numériques sont approximatives, calculées au nombre de barreaux de l'échelle).
Malgré l'équipement en "hauteur" et les échelles en place, la sortie du trou n'est pas toute simple.
Travaux obligatoirement prévus pour l'aménagement de l'entrée avant la poursuite des investigations. Une demande d'autorisation de travaux sera faite auprès du propriétaire du terrain. Merci à François de nous avoir prévenu de la création de ce trou et d'avoir bien voulu nous y conduire.
JLG
Croquis d'explo par Thierry.
Participants : Vol, RL, RA, PAu
TPST 7H
Même cavité mais avec changements des acteurs. Finalement, Pourpevelle étant une cavité école, il n’y a pas de raison de ne pas la faire plusieurs fois. Nous nous y sommes retrouvés à 9h00 avec Véronique pour un rendez-vous à 9h30 avec Rudy & Rodolphe. Véronique équipe rapidement avant leur arrivée car les 1 degrés extérieurs tardent à se multiplier. A 9h30, l’équipe est au complet pour une entrée avant dix heures dans la cavité. Véronique est devant pour équiper, Rudy suit, puis Rodolphe et je clos la marche. Les premiers puits sont l’occasion de revoir la technique pour nos deux amis qui se débrouillent fort bien. Véronique équipe vite, et bien, avec peu d’hésitations : belle maitrise. Les gestes techniques reviennent bien en mémoire de nos deux comparses, l’ambiance est bonne et nous arrivons rapidement en bas non sans admirer les volumes du grand puits. C’est ensuite parti pour le réseau Sud : petite erreur d’orientation au départ, il faut penser à bifurquer à droite très vite, puis les bassins s’enchaînent debout, à genou, presque à la nage parfois. Cette fois nous ne ratons pas la bifurcation vers le ressaut, un peu d’escalade à gauche, hop, après la mare et son étroiture, direction la salle du guano, les bassins sont un peu plus haut que la dernière fois, nous nous y plongeons jusqu’aux seins. Rodolphe la néoprène que tu n’as pas : ça va? Oui, il est vaillant le gaillard, même pas mal. Heureusement nous pouvons rapidement après commencer la série de laminoirs qui nous sèchent bien, ou au moins nous réchauffent, chaque zone de frottement semble s’allumer d’un feu intérieur. Nous faisons une brève pause pour manger un peu avant la voûte mouillante et seule Véro la passera, avec de l’eau jusqu’aux oreilles à plat-ventre pour arriver à une petite salle qu’elle ne nous vend pas bien. Ce sera le moment du demi tour. Hop, tout s’enchaîne rapidement, nous laminons consciencieusement, trempons et marchons à nouveau à genou, debout, à plat ventre pour revenir aux puits. Véro passe devant et Rudy la suit rapidement, Rodolphe tente le tricot en haut du puits de 40 mètres, je déséquipe et tout le monde discute autour d’une bonne bière dans le camion chauffé de Rodolphe. Un bon moment en bonne compagnie.
PAu
Participants : TV, BD, JMJ
10 h / 14 h
Pendant qu'ils se préparent pour aller bosser dans la perte, un chasseur passe et leur explique qu'un trou s'est ouvert pas loin de là. Belle occasion de faire autre chose que le boulot dans la perte... A cause du brouillard et des explications peu précises du chasseur, ils mettent un peu de temps à trouver le trou, qui est effectivement intéressant. Prospections dans les environs où deux pertes sont repérées.
JLG
Participants : PB, JMJ, JLG
18 h - 20 h
Nous ne sommes que 3 au rendez-vous, pas de Cafistes, ce qui pose un problème au début de la séance, la concierge ne voulant pas nous autoriser à grimper par manque de responsable du CAF. Un coup de fil plus tard, tout s'arrange, Pascal devient responsable de la séance et peut grimper et installer la corde. Il installe une C25 avec 2 brins descendants, chacun fractionné, un en vertical et un décalé sur la gauche. On revoit quelques noeuds, puis on enchaîne les montées-descentes, passage de fractios, conversions, ... Pascal peaufine son utilisation du pantin ... A la fin de la séance, Pascal déséquipe les 2 voies et redescend sur noeud bloqué.
A la prochaine séance (mercredi 24 novembre), on espère plus de monde et on procédera autrement pour l'équipement, en séparant les 2 voies depuis le haut.
JLG
Participants : TV, TG
9 h 30 / 14 h
Pas très motivés par la météo, l'eau qu'ils ne manqueront pas de trouver en bas de la perte et la nécessité d'enfiler une combinaison néoprène, les deux Thierry's s'attaquent à l'aménagement de l'entrée. Ils calibrent rocher et talus d'argile dans le but de fixer prochainement une grille qui filtrera branches, feuilles et autres au cours des crues de l'hiver.
JLG
Stage photo du vendredi 5 au dimanche 7 novembre 2021, à la Maison Lorraine de la Spéléologie de l’Isle en Rigault (55).
Après une journée photographie au Spéléodrome de Nancy, avec Gérard Jaworski et Guy Decreuse, nous rejoignons le stage photographique en milieu souterrain qui se tient à L’Isle en Rigault.
Après s’être installé dans la Maison Lorraine de la Spéléologie, site géré par les spéléos Lorrains, la soirée débutera par une intervention de Philippe Crochet sur les techniques photos, à partir des questions des différents participants. Lors de notre séjour, nous serons encadrés par plusieurs photographes spéléos : Philippe Crochet ; Serge Caillaut ; Romain Venot ; Guy Decreuse ; Gérard Jaworski ; Kévin Downey ; …
Pour les jours suivants, des groupes sont constitués pour se répartir sur les différents sites et traiter l’aspect photo dans des milieux différents (verticales, carrières, milieu aquatique,…).
Vendredi, notre groupe se dirige au gouffre de la Sonnette, dans la carrière à Savonnières en Perthois. L’entrée se fera par « Champs au vin ».
Après avoir cheminé dans les dédales des galeries de la carrière, nous arrivons à l’orifice du gouffre de la Sonnette (puits de 30 m), remarquable par ses cercles. La cavité est équipée par le puits principal, ainsi que par un puits annexe qui débouche sur le côté. Un Godox sera installé en tête de puits, pour éclairer le spéléo sur corde en contrejour. Le puits étant partiellement arrosé, il ne sera pas facile de réaliser une photo de qualité.
Après quelques essais, nous rejoignons la carrière où l’on nous guidera dans une zone possédant des blocs de calcaire cubiques, prêts à être extrait du sous-sol. Nous réaliserons quelques photos dans cette zone avant de retourner à la surface en empruntant un ancien escalier abandonné qui débouche en plein milieu du village.
Le soir sera mis à profit pour réaliser les critiques sur les photos réalisées dans la journée.
Le samedi 7 novembre, nous irons au Rupt du Puits à Robert Espagne pour rejoindre le ruisseau souterrain. L’accès au réseau se fait par un puits artificiel de 47 m, qui débouche 3m au-dessus de la rivière. Nous débuterons notre séance photos à la galerie des marmites, avant de poursuivre nos prises de vues sur le chemin du retour.
De retour au gîte, nous procédons aux échanges et aux critiques des photos de la journée.
En fin de journée, nous repartons avec Guy, chez Gérard afin de récupérer ma voiture ; puis retour en Franche-Comté.
Un stage fort intéressant, qui nécessitera de mettre en application les différentes techniques abordées. Un grand merci à tous les cadres et les accompagnateurs qui ont favorisé la réussite de cette rencontre.
Bernard Détouillon