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  • : SCV 70
  • : Vie du club SCV70, consacré à la spéléologie, et un peu le canyoning et la via ferrata.
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12 juin 2019 3 12 /06 /juin /2019 07:35

Participants : Pascal Bresson, JMJ, JLG
TPST : 2 h 30

Pascal, intéressé par la spéléo, m'avait contacté par mail.  Comme il habite Echenoz la Méline, il est venu chez moi la semaine dernière pour discuter un peu de ses envies : il est au CAF, fait de l'escalade, du canyon et est intéressé par les techniques de spéléo verticale et par les secours (il est également pompier volontaire). Nos calendriers respectifs permettaient une sortie à Rougeterre le 11 juin, en fin d'après-midi. Jean-Marie, contacté par la suite, s'est joint à nous.
Donc, sous la pluie, Jean-Marie équipe le puits pendant que je montre à Pascal comment utiliser le descendeur. Il attaque la descente, retrouve JM au fractio, et ils continuent ensemble. Je les rejoins au fond, j'équipe la main courante et on initie Pascal à la technique de remontée aux bloqueurs, et aux conversions descente/montée et montée/descente. JM déséquipe la main courante, on remonte le puits,  Pascal et moi, je déséquipe ma corde, et JM l'autre corde. Sortie 20 h 30, toujours sous la pluie.
C'est un plaisir d'initier Pascal, qui connaissait déjà au moins de nom le matériel utilisé et qui avec son vécu en escalade/canyon a compris très rapidement les diverses manipulations et les a réalisé facilement. Retour dans la cabane de chasse pour se changer, au sec, en prenant la traditionnelle BST (bière de sortie de trou). 

JLG 

Gouffre de Rougeterre, mardi 11 juin 2019
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10 juin 2019 1 10 /06 /juin /2019 18:26

PA du SCV70, Stéphane Guignard du Doubs et Sébastien de Marseille.
TPST 8h00, -300m.

Nous avons profité du congrès FFS pour aller visiter cette classique. Les avis étaient divergents autour de nous : sans intérêt, superbe, banale, sélective. Il fallait nous faire notre propre opinion.
Stéphane donne rendez-vous à son copain de Marseille à 9h00 pétante et nous arrivons donc sur le lieu du rendez-vous à 9h45.
Sébastien est parfois spéléo mais plus souvent randonneur ou adepte de canyoning : il est équipé comme un plombier avec un descendeur de canyon et un baudrier pas à sa taille. Sa lumière est une lampe plutôt utilisée dans les secours : il aime les challenges.
Estimant que ce n'est pas suffisant, il décide de prendre un gros kit pour promener son appareil photo dans un bidon étanche en compagnie d'une petite bouteille d'eau (si,si).
10h00, nous entrons sous terre : la cavité est équipée, facilement accessible et le petit puits nous amène dans une cavité encore éclairée d'une lumière verte évanescente.
Un peu de désescalade et les puits s'enchaînent. Des marbrures roses, jaune moutarde, blanches avec ci et là des géodes à moitié ouvertes s'offrent à celui qui veut les voir.
Au bout d'une heure, nous sommes à -100 et retrouvons un groupe qui hésite à aller plus avant. Ils décident de remonter avant les méandres.
 
Nous entamons le premier méandre, le "petit", et Sébastien commence à vocaliser "trou de chiotte", "p. de méandre de m.". Il a du mal à progresser et le fait savoir.
Ce premier méandre est suivi de quelques puits peu profonds à nouveau puis nous arrivons au grand méandre.
C'est un long méandre, guère plus large que le premier, doté d'aspérités accrocheuses.
Stéphane s'enfonce sans un bruit devant. Sébastien anime la galerie et maudit tout ce qui est maudissable sur terre et ailleurs.
Je le suis, en silence.
À la sortie du méandre, quelques puits nous amènent Stéphane et moi jusqu'au siphon d'aval.
Des bouteilles sont posées à côté. Un fil part dans l'eau limpide. Il y a comme un appel.
 
Nous remontons rejoindre Sébastien qui estimait que la fin du parcours se situait à la sortie du méandre.
Il me laisse son kit pour le retour et je peste intérieurement de traîner un kit inutile dans un méandre qui ne manque pas de vouloir nous garder en nous tenant par la culotte, la pédale, le fil du casque, le crawl, le baud et chacune des poignets du kit.
Sébastien est dopé, il avance bien, moi plus trop.
Je finis le grand méandre rincé.
Heureusement les puits à remonter laissent le temps de se reposer. Sébastien se rend compte que grimper avec un matériel inadapté, c'est sympa. Stéphane l'attend en haut, moi en bas, avec son kit.
Le petit méandre se fait plus facilement : il faut dire que stéph a décidé de porter les deux kits finalement…
Nous croisons par deux fois des équipes de trois spéléo et faisons moults acrobaties dans le méandre pour les laisser passer.
 
Au départ des puits Steph et moi mangeons. Sébastien décide de commencer à monter. Je garde son kit.
À la fin du repas, il a presque monté le premier puits. Steph le rattrape, le double, je reste en dernier.
Les remontées se font à un rythme facile et je récupère peu à peu des méandres. La cavité est belle, vraiment.
Des puits de toutes les formes, bien équipés et dont chaque tête de puits a sa particularité, avec de jolies veinures.
18h17 je suis de retour le premier à la voiture.
 
Mon avis : c'est une très belle cavité. Les méandres sont tuants mais beaux eux-aussi. Il vaut mieux éviter d'y porter un kit.
PS : une pensée émue pour ceux qui ont porté les bouteilles de plongée à côté du siphon.
PA
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10 juin 2019 1 10 /06 /juin /2019 18:22

PA du SCV70, Stéphane Guignard du Doubs.
TPST 2h

Jérémie Prieur d'UP2019 m'avait proposé de plonger le barrage souterrain de port Miou. J'avais gardé ça en tête et forcément, n'ayant pas à aller aux réunions fastidieuses de la FFS, j'ai sauté sur l'occasion et Stéph aussi.
Rendez-vous à 8h30, puis 9h00, nous arrivons à 9h30.
Un puits de 40m équipé d'échelles métalliques descend jusqu'à un barrage souterrain. EDF avait décidé dans les années 60 de l'utiliser pour faire un point d'approvisionnement en eau potable. Malheureusement, une paléorésurgence à quelques kilomètres de là maintient une salinité à 20mg/l : l'eau reste inutilisable en boisson. Les spéléo locaux la gèrent en point d'eau "en cas d'incendie".
Tout est superbement organisé pour ce qui sera mon baptême de plongée souterraine.
Jérémie me coache de prés, vérifie mon matériel, m'explique. Il a vu que Stéphane était expérimenté et le laisse gérer en autonomie.
Je rentre à l'eau avec mes deux bouteilles de dix litres sur le dos, réglées à 250 mbar. Véro, très déçue de ne pouvoir y aller, m'avait laissé ses détendeurs et ses plombs.
L'eau est limpide et nous descendons le long d'une corde jusqu'à douze mètres. Tout est ok.
Nous glissons le long du fil sur 200 mètres, avec un point bas à -23 mètres.
Les volumes sont grands, la lampe méandre qui m'a été prêtée éclaire comme ma scurion sous terre.
Jérémie me fait changer de bouteille et annonce le demi-tour.
La frustration qui frappe Stéphane se ressent comme le chant des baleines sous l'eau.
Nous palmons, tranquillement et dans un esprit taquin, je décide d'abandonner une palme au fond de l'eau.
Stéphane s'apprête à se lancer à la poursuite de l'objet comme un chien après un bout de bois mais Jérémie est déjà dessus et me la ramène.
Retour tranquille, remontée paisible, je sors : "c'est court non?" "Attends pour un baptême c'est exceptionnel !" "Ah?".
Je suis un peu frustré : la cavité s'étend sur plus de deux kilomètres et ce retour prématuré m'a surpris autant que je le comprends : c'est un baptême…
J'y retournerai.
PA
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10 juin 2019 1 10 /06 /juin /2019 16:38
Présents : Valbert et VOL, Didier Lescure, Denis Langlois, Jean Camplo, Eric David
TPST : 2 h
 
Après une matinée d’assemblée générale, on a la cafetière qui bout, on attrape les baudriers et on part à 13 h faire une petite grotte perchée à flanc de mer. On nous a promis que c’était beau et sensationnel et aussi court à faire, condition pour que Valbert nous suive de force, puisque dorénavant la spéléo c’est nul puisque maman adore. C’est à 15 minutes en voiture du congrès, on ne met pas de combi il fait trop chaud. Comme je n’ai que des mic canyon + chaussons néoprènes, je n’imagine pas la marche d’approche, je reste en baskets pailletées jean et chemise… J’aurai un succès fou à chaque spéléo rencontré :-D, on a même pris mes pieds en photo. Sur la falaise où on voit TOUT je ne suis pas fière, j’aime pas trop quand c’est clair en fait, Tout est très bien équipé et confortable c’est un plaisir d’accéder à cette petite grotte nappée de poussière blanche, toute sèche. Pendouiller dans le plein vide à  300 mètres au dessus de la mer ça fait peur, j’aime pas trop mais c’est beau en même temps. je regarde passer des spéléo pressés avec des techniques différentes pour remonter le pendule. je choisi la meilleure :-) en me laissant repartir à la verticale avec le descendeur en zéro. Denis monte derrière une nana d’un autre groupe qui se coince le Kroll, tanqué dans un fractio juste au dessus du pendule… il va la décrocher, ça dure ça dure, Jean finit par monter sur la corde et fait une conversion vite fait en beuglant, ils sont trois sur la même corde… bon on poireaute encore et Denis résoud le problème, sauve la fille, Jean monte, la prend en photo sur le fractio suivant et lui dit « je te l’envoie si tu veux, file moi ton 06 …) la technique spéléo pour draguer est assez au point je trouve. Morale de l’histoire, on enlève d’abord son bloqueur de poitrine et APRÈS son bloqueur de poing, parce que sinon en appuyant sur le bloqueur de pied vlan on se tanque dans le problème. Valbert a tout passé avec un brin d’ennui, il n’apprend plus rien parait-il. Aller au fond de la grotte voir les dents de cochon (des parois hérissées de cristaux de 3 ou  4 cm taillés en 4 ou 6 facettes) ne l’a pas tenté, il est resté papoter à l’orée du pendule. Retour a 17 h, personne n’a vu notre absence et on continue l’AG… jusque 19 h 30.
VOL
Grotte du pendule à La Ciotat, dimanche 9 juin 2019
Grotte du pendule à La Ciotat, dimanche 9 juin 2019
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9 juin 2019 7 09 /06 /juin /2019 18:38
Participants : Bruno ( et un Alsacien amateur)
Pour terminer la semaine, une "petite" via  de 340 m de dénivelé dans les Préalpes, avec sommet à 2175 m. Cotée "difficile", c'est une montée quasi verticale en barreaux, pieux, échelles alu et échelles alu souples en dévers. La météo avait prévu l'humidité l'après midi, mais…
Accès depuis un parking, environ 20 minutes sur sentier puis direct sur névé pour rejoindre le départ situé vers 1800 m (accès donné en 45 minutes normalement). Le vent augmente et les nuages menacent. A peine démarré que les premières gouttes arrivent. Tant pis, on prend un bon rythme pour la sortir en 45 minutes ( donnée pour 2 heures). Aucun échappatoire possible, un seul passage sollicite un peu les bras. Du sommet, on voit le point de départ, c'est dire qu'il y a du gaz!
Dommage pour la météo du jour, car le paysage est grandiose, avec les Alpes suisses au fond dans les nuages.
Redescente par les crêtes puis les névés sur 5 km, avec un vent fort et froid, puis de la vraie pluie les 15 dernières minutes.
Un peu sportif mais à refaire par beau temps.
Bruno
Via ferrata de GANTRISCH (Suisse) Dimanche 9 juin 2019
Via ferrata de GANTRISCH (Suisse) Dimanche 9 juin 2019
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8 juin 2019 6 08 /06 /juin /2019 22:29
Participants : Th.V.  J-m.J.
10h à20h
 
         Nous commençons par aller récupérer au Replan ce dont on a besoin: sable, eau, ferraille, acheminés en 4x4 puis à dos d'homme et en brouette. Après la pause, nous montons un mur pour retenir l'éboulis sous le cadre. On arrêtera à 1 m de long et 0,80 m de haut. La prochaine séance permettra  d'enlever les dalles et préparer la base de la première buse.
   J-M.
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4 juin 2019 2 04 /06 /juin /2019 07:32

Participants : Bruno ( et deux Alsaciens dont l'organisateur)

N'ayant pu aller en Ardèche, petite consolation du côté d'INTERLAKEN...Cotée Très difficile, cette via remonte en serpentant le long d'un torrent de montagne segmenté en 4 cascades spectaculaires sur un mur de + de 350 m de dénivelé, cascades en crue ce jour. Ambiance hammam rafraîchissant dès le pied de la voie, et ça recommencera plus haut deux fois, lors des traversées.

Beaucoup de "pieux" ( gros fers à béton), du barreau et pas mal de contact rocher. Une tyro pré équipée avec va et vient, en libre accès ( l'autre est sous cadenas,  uniquement avec guide). Un seul pont de singe au dessus du torrent, une échelle vrillée spectaculaire sous un surplomb et quelques petits équipements divers.  Il a fait très chaud contre paroi !  Presque 3h d'ascension, l'organisateur avait amené un ami qui a eu un peu de mal dans certains passages. L'arrivée vers 1500 m débouche dans les prairies d'alpage, la neige est  encore très présente  vers 1700m, les sommets proches sont à 2400 m. Petite rando de 6km pour redescendre, c'était parfait. Une des plus belles via de Suisse. Mais pas pour débutants.

Bruno

Via ferrata de KANDERSTEG (Suisse) Lundi 3   juin 2019
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3 juin 2019 1 03 /06 /juin /2019 18:25

Participants : TL, BD, JMJ, JLG

Départ du gîte de Trécouvieux un peu avant 9 h, pour pouvoir passer Lyon avant midi. Les prévisions de trafic routier sont très pessimistes dans la vallée du Rhône, on prend donc l'option de ne rien faire le matin, sinon rouler. Beaucoup de monde sur l'autoroute, mais pas de bouchons. Super. On passe Lyon, et on sort de l'autoroute un peu plus au nord, à la limite Ain/Isère, pour aller visiter la grotte de La Balme.
Pique-nique à l'ombre sur une table du parking de la grotte, et départ pour la visite. Notre carte FFS nous vaudra une réduction de 1.50 € sur les 8 € demandés à l'entrée. La grotte est en visite libre, sans guide. Quelques pancartes explicatives donnent des renseignement. Le porche d'entrée est majestueux. Au dessus des escaliers, 4 parties à visiter, avec des méandres étroits, des gours, ... La grotte est éclairée intelligemment, sans couleurs criardes, visite agréable.
Après environ 1 h 30 de visite, retour sur l'autoroute, toujours sans bouchon. Arrivée chez Nanard à Recologne à 17 h.

JLG

Grotte de La Balme, dimanche 2 juin 2019
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3 juin 2019 1 03 /06 /juin /2019 18:19

Participants : TG, TL, TV, BD, JMJ, JLG

On est prêt à 9 h, dans les voitures. Arrivés au parking, il y a déjà une auto. Tant pis, on y va. 
Jean-Marie équipe. L'entrée n'est pas très grosse, ajourée, très jolie. Le toboggan du début est équipé par une corde, qu'on pense être en place depuis longtemps, vu son état. JMJ rééquipe par dessus, jusqu'au début du P31. Le toboggan est relativement étroit, pentu et bien lisse, la corde en place ne va pas jusqu'en bas. Au début du P31, pas de corde : donc, les occupants de la voiture sur le parking ne sont pas dans le trou. On nous appelle depuis l'entrée : un autre groupe nous demande combien nous sommes, et s'il y a un autre groupe. Suite à notre réponse, ils décident de nous suivre.
Le P31 est oblique, glissant, plus spacieux que le début. Il y a 2 fractios partageant le puits en 3 tronçons d'environ 10 m. Au bas, une petire escalade avec corde en place permet d'atteindre l'étroiture, boyau descendant suivi d'un court puits vertical. J'équipe, avec une dev au milieu. Ensuite, quelques passages bas, et on se retrouve dans la grande salle en pente, grande, vraiment grande, et magnifiquement concrétionnée. Tout le monde part s'y promener, faire des photos, ... 
De là part une escalade de 12 m (personne n'a trop envie d'y aller), donnant sur une vire à équiper, puis une petite escalade pour se retrouver dans une autre grande salle. Une corde pend dans la salle du bas, qui permet de shunter l'escalade et la vire, mais là non plus, personne n'a bien envie d'y aller (les cordes en place qu'on ne connaît pas, méfiance, dit notre président). On casse une petite croûte, ce qui permet au groupe suivant de nous rejoindre (ça évitera de se croiser dans les passages étroits). Ils sont de Dijon, du CAF, et TG en connaît au moins un.
On attaque la remontée, en soufflant pas mal, le trou étant visiblement mal ventilé du fait de la surfréquentation. De plus, on avait déjà chaud à la descente, alors là, surchauffe. Le puits oblique oblige à remonter comme on peut, en rampant contre la paroi, à genoux, ... On est content de sortir, pour retrouver la canicule, ... et une bière bien fraîche !

JLG

19.06.01_aven des Pèbres
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3 juin 2019 1 03 /06 /juin /2019 18:18

Participants : Gege, TG, TL, TV, BD, JMJ, JLG
TPST : suivant les personnes, entre 1 h et 3 h.

On arrive sur le parking, et on va jeter un coup d’œil au trou. Une vasque d'eau stagnante en défend l'entrée, pas d'écoulement d'eau : c'est bien, les recommandations pour descendre dans ce trou sont très précises (voir site). Comme le temps est au beau fixe, on va pouvoir y aller. Retour aux voitures pour s'équiper, et vu l'heure, pour casser la croûte.
Une fois au bord du trou, on hésite un peu : comment équiper et qui va s'en occuper ? C'est finalement Thierry G qui y va, en essayant de ne pas tremper dans la vasque assez profonde. On le suit en modifiant un peu l'équipement pour retendre la corde et éviter les bains. Suivent deux petits bassins, puis un ressaut de quelques mètres. Thierry G continue l'équipement, pas toujours évident, beaucoup de spits HS. Thierry V rajoute un point, histoire d'avoir un double amarrage. Gege, pas vraiment convaincue par la cavité, préfère faire demi-tour, et ressort avec l'ide de JMarie pour franchir la vasque d'entrée. L'arrivée au bas du ressaut se fait dans une vasque profonde, évitable en longeant bien le bord gauche (exercice raté pour au moins un qui finira dans l'eau ...). On arrive ensuite sur un vaste balcon, au dessus d'un ressaut également difficile à équiper, vu les spits foirés. JMarie se met à l'équipement, tandis que TG, qui ne veut pas laisser Gege toute seule, et moi, que le froid commence à gagner, ressortons. Les autres descendent le ressaut.  La suite se trouve sur la gauche, mais avec une belle mare profonde, donc ils n'ont exploré qu'un petit méandre étroit mais très haut sur 100 m à droite où Thomas a trouvé un ballon de foot intact, pour donner une idée de la taille de la galerie.
  Au retour, au déséquipement, Nanard n'évitera pas la baignade dans la vasque d'entrée.

JLG

Goule de Foussoubie, vendredi 31 mai 2019
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